L’adoption peut être réalisée par une personne de plus de 28 ans, qu’elle soit mariée ou non, voire même qu’elle vive seule. Il est, ainsi, possible d’adoption en France les pupilles de l’État, les personnes remises à l’ASE, dont les parents ont accepté l’adoption, les personnes déclarées abandonnées et, sous certaines conditions, l’enfant de son conjoint.

L’adoption simple ne rompt pas le lien juridique avec son parent, mais pour un adopté de plus de 13 ans, il lui sera possible de modifier son nom patronymique (soit adjoindre le second nom, soit substituer le nouveau à l’ancien).

L’adoption plénière efface quant à elle les liens de filiation entre l’adopté et sa famille d’origine. L’adoption suppose la saisine du tribunal par voie de requête et implique l’assistance d’un avocat.